vendredi 29 avril 2016

Une maison pour quatre, de Gilles Bizouerne et Elodie Balandras

Editeur : Syros (paroles de conteurs)
Année : 2015
Public visé : Enfants, à partir de 4 ans

Résumé :
Tigre, Éléphant, Serpent et Hibou se rencontrent un jour et ont une drôle d’idée : « Et si on construisait une maison ? » Ça, les animaux n’y avaient jamais pensé… Faudra-t-il une salle de bains ? Un placard et des rangements ? Une cave et un grenier ? À quoi va bien pouvoir ressembler la maison de leurs rêves ? Une histoire surprenante et pleine d'humour, d'origine africaine.

Ce que j’en pense :
Cet album de Gilles Bizouerne est issu de la tradition orale. Il commence en forme de devinettes, en impliquant les enfants dans la présentation des personnages.
Une fois présentés, ces animaux rêvent d’un projet commun, qui prendra la forme d’une maison. Dans un passage plutôt rigolo, les animaux se posent des questions sur ce dont ils ont besoin dans leur habitation. Viens ensuite la construction, où les quatre amis démontrent entraide et complémentarité.
Chacun édicte enfin sa règle de vie, comme dans une colocation. Mais dès la première nuit, les choses vont se gâter ! Une débandade épique, qui, bien racontée, fera rire les petits mais aussi les plus grands (à notre grande surprise, il fonctionne très bien avec les grands du CM) !
En filigrane de cette histoire pleine d’humour, la difficulté du vivre-ensemble lorsque chacun suit sa propre règle de vie…
Les illustrations sont colorées et bien contrastées, et le grand format de l’album en fait un bon support à raconter à un groupe.

Les + : L’humour, la narration qui se prête bien à la lecture à voix haute
Les - : r.a.s
Appréciation : 4/5


Stellabloggeuse

mercredi 27 avril 2016

Projet oXatan, de Fabrice Colin

Editeur : Mango jeunesse
Année : 2002
Pagination : 218 p. (édition poche Flammarion)
Public visé : Adolescents, à partir de 12 ans

Résumé :
Quatre adolescents ont vécu toute leur existence, aussi loin qu’ils s’en souviennent, dans un bunker nommé « Eden », au fond d’un cratère sur Mars. Jusqu’à ce qu’un jour, leur maison entourée de marais, d’alligators et d’ogres féroces leur apparaisse comme une prison, les poussant à chercher à s’échapper. Ils partent sans le savoir en quête de leurs origines, même s’ils doivent finir par le payer de leur vie…

Ce que j’en pense :
Fabrice Colin offre ici aux adolescents un petit roman de science-fiction raconté de l’intérieur, sous la forme d’un journal intime qui retrace 13 jours de la vie des quatre adolescents, 13 jours qui marquent pour eux un tournant définitif.
L’intrigue pose la question des intelligences artificielles et de la procréation assistée, avec les dilemmes d’éthique qui leur sont liées.
L’histoire semble parfois parfaitement réelle, mais elle s’apparente aussi à un rêve, ou plutôt à un cauchemar.
C’est une lecture intéressante, mais qui mériterait d’être plus développée, notamment au niveau du caractère des personnages.

Les + : des thèmes intéressants
Les - : des personnalités peu étoffées
Appréciation : 3,5/5

Stellabloggeuse
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Ce roman fait partie du challenge :



Challenge New Pal 2016 : 5/56

lundi 25 avril 2016

Les sœurs Ramdam, de Françoise de Guibert et Ronan Badel

Editeur : Thierry Magnier
Année : 2015
Public visé : Enfants, à partir de 4 ans

Résumé :
Une journée paisible commence à Quietcity, dans le Far West… Pas si paisible que ça, car les sœurs Ramdam ont décidé de faire profiter leurs voisins de leur musique, qui n’est visiblement pas du goût de tout le monde ! Si c’est comme ça, elles iront en dehors de la ville, jouer pour les arbres et les oiseaux…quitte à se faire capturer par les Indiens !

Ce que j’en pense :
Les deux personnages principaux de cet album malicieux jouent avec un enthousiasme rafraîchissant leur musique dissonante, de l’école à la place du village, cherchant avec optimisme ceux qui sauront apprécier leurs airs. J’ai beaucoup aimé la fin de l’album, qui est bien trouvée. Les enfants les plus jeunes ne comprennent pas toujours toutes les subtilités de l’histoire, mais ils en saisissent l’essentiel à leur niveau.
Quant aux illustrations, elles sont l’œuvre de Ronan Badel, avec toute la malice qu’on lui connaît. En revanche petit bémol concernant le format de l’album, un peu trop petit pour être raconté devant un public de plusieurs enfants.
Mais cet album reste une réjouissante incursion dans le Far West!

Les + : l’humour
Les - : le format un peu petit
Appréciation : 3,5/5

Stellabloggeuse


vendredi 22 avril 2016

Rural noir, de Benoit Minville

Editeur : Gallimard
Année : 2016
Pagination : 256
Public visé : Adultes

Résumé :
Après dix ans d’absence, après avoir tout plaqué et avoir tenté de tout oublier, Romain est de retour dans son petit village dans la Nièvre. Rapidement, les souvenirs affluent, notamment ceux de cet été où les choses ont commencé à déraper, lorsqu’il a perdu son innocence. En retrouvant son frère et sa meilleure amie Julie, Romain espère prendre un nouveau départ, mais les retrouvailles sont entachées par un drame : Vlad, leur ami d’enfance, le quatrième membre de leur « gang » est retrouvé dans un champ, laissé pour mort…

Ce que j’en pense :

Après son titre « Les géants » qui préfigurait déjà un tournant plus sombre, Benoit Minville revient cette fois avec un véritable roman noir, sur fond de trafic de drogue et de règlements de comptes.

On y retrouve pourtant des thèmes familiers chez l’auteur, notamment cet intérêt pour l’adolescence, l’âge de la transgression et de la liberté, mais aussi des premières angoisses existentielles. Il nous raconte ainsi l’amitié fusionnelle de quatre jeunes gens. C’est sans doute ce qui donne son humanité au roman – par ailleurs très sombre, avec son lot de sang et de violence. A un moment de l’intrigue, j’ai d’ailleurs pensé au film « Les petits mouchoirs », avec cette bande de copains qui perd brutalement son insouciance.

L’histoire a également une importante dimension sociale, autre préoccupation récurrente chez l’auteur – on se souvient du cri de rage de « Je suis sa fille » contre la toute-puissance du capitalisme. Il est question ici de la désertification des campagnes, de la crise qui frappe durement ces recoins isolés de France, des petits trafics mis sur pieds pour survivre et qui dégénèrent en quelque chose de plus grave… Cela m’a rappelé par moments « A la vie à la mort » d’Henri Courtade, que j’avais beaucoup aimé.

Le lecteur se retrouve pris au piège avec les personnages qu’il apprend rapidement à apprécier, dans une spirale de vengeance et de règlement de comptes, entre passé et présent, avec un esprit de clan et une loi du silence qui rappelle un peu la mafia.
Un roman à découvrir, pour les amateurs de polars non dénués de chaleur humaine, avec une dimension sociale.

Les + : l’humanité, la dimension sociale
Les - : ne pas être rebuté par la violence, beaucoup de combats à mains nues
Appréciation : 3,5/5

Stellabloggeuse
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« Ce soir on est les rois. Cette nuit d'été est à nous. On se rabâche cet hymne depuis des semaines et à chaque fois c'est la plus grande découverte de l'histoire de la musique. Notre vieille grange nous protège de l'orage de fin du monde qui rôde. On transpire la joie, le rock'n'roll et l'amitié. On est plus grands que King Kong, plus heureux qu'une colonie de milliardaires, plus sauvages qu'une horde de hors-la-loi. »

mercredi 20 avril 2016

Le monde de Milo, tome 3, de Marazano et Ferreira

Editeur : Dargaud
Année : 2015
Pagination : 56 p.
Public visé : Enfants et adolescents, à partir de 10 ans

Résumé :
Milo attend avec impatience de pouvoir retourner dans l’autre monde, lors des prochaines vacances. Il va pourtant le rattraper plus vite que prévu en la présence de son ancien ennemi, venu quémander son aide : la Reine noire a enlevé les enfants du village et fait peser un grand péril sur le monde tout entier.

Ce que j’en pense :
Après deux premiers tomes qui offraient une histoire complète et finie, revoilà Milo dans de nouvelles aventures.
J’ai retrouvé avec joie son univers, ses couleurs particulières, son ambiance à la fois attractive et angoissante. Les illustrations sont toujours aussi soignées, c’est un vrai plaisir.
Milo a grandi depuis son premier voyage dans l’autre monde, mais il ne se connaît pas encore suffisamment et ne maîtrise pas ses pouvoirs. Il va pourtant devoir prendre confiance en lui s’il veut vaincre la Reine noire.
Quant à l’intrigue, elle va se déployer sur deux tomes, et la fin de ce premier volume nous laisse en plein suspense. Vivement la suite !

Les + : les illustrations
Les - : un final plein d’un suspense insoutenable !
Appréciation : 3,5/5


Stellabloggeuse

samedi 16 avril 2016

Le noir est ma couleur, tome 5, d’Olivier Gay : Le piège

Editeur : Rageot
Année : 2016
Pagination : 281 p.
Public visé : Adolescents, à partir de 14 ans

Résumé :
*Attention, il s’agit du cinquième tome d’une saga : présence de spoilers sur les tomes précédents*
Après avoir survécu à mille dangers, Manon et Alexandre ont trouvé refuge à Nice, auprès des mages noirs sensés apprendre à la jeune fille à maîtriser ses pouvoirs. Mais rien ne se passe comme prévu et nos deux héros vont devoir fuir une fois de plus, en compagnie d’autres adolescents. Cap sur Rome, pour percer le secret de la magie de Manon…

Ce que j’en pense :
Ce cinquième tome clôt la série (malheureusement, j’avais espéré qu’il y aurait un tome par couleur du spectre, soit sept^^) comme elle avait commencé, avec un savant mélange de fantastique et de romance, sur un rythme trépidant.
Cette série est définitivement addictive, grâce à l’alternance des points de vue, des rebondissements bien placés et l’alchimie surprenante d’un tandem bien moins caricatural qu’il ne l’était à première vue. J’ai aimé la manière dont la relation entre Manon et Alexandre s’étoffe au fur et à mesure que leurs personnalités se nuancent. La magie a été pensée de manière très intelligente, et j'ai apprécié la révélation finale.
Néanmoins, j’avoue que j’attendais un tout petit peu plus de l’ultime tome, un final un peu plus explosif. Mais ce n’est que partie remise, car l’auteur annonce dans la postface que nous retrouvons peut-être les personnages dans d’autres aventures. Et les épilogues de chaque personnage m’ont satisfaite et fait sourire.

Les + : les personnages
Les - : j’attendais un final un tout petit peu explosif
Appréciation : 4/5

Stellabloggeuse
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« Lorsque j’ai connu Manon, j’imaginais tous les trucs géniaux que devait pouvoir faire une magicienne, et à quel point ça changeait des filles classiques. Mais jusqu’ici, ça ne m’a apporté que des ennuis, des Mages aux Trousses, des Ombres, des Traqueurs, des flics… Alors ce baiser, ce baiser échangé à deux cent mètres d’altitude, alors qu’on flotte dans un courant chaud qui nous amène vers la liberté, ce baiser, on le fait durer. »
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Ce roman fait partir du challenge :




Challenge ABC 2016 : 7/13

mercredi 13 avril 2016

Purée de cochons, de Stéphane Servant et Laetitia le Saux

Editeur : Didier Jeunesse
Année : 2016
Public visé : Enfants à partir de 5/6 ans

Résumé :
Le loup est bien content, car il a capturé dans la forêt trois petits porcelets. Avec des carottes et des navets, il va se préparer une délicieuse purée de cochons ! Le problème, c’est que le loup ne sait pas lire…impossible de déchiffrer la recette ! Les trois petits cochons vont donc le guider…ou le mener en bateau !

Ce que j’en pense :
J’avais beaucoup aimé les précédents contes détournés du tandem Servant/Le Saux : « Boucle d’Ours » qui aborde en douceur le thème du genre, et « La Culotte du loup » qui met en garde les enfants contre les sirènes de la publicité.
Avec ce nouvel album, le duo s’attaque au thème de l’illettrisme. Avec humour et simplicité, ce conte démontre aux enfants que l’on est très démuni lorsque l’on ne sait pas lire, obligé de s’en remettre aux autres, qui ne sont pas toujours de bon conseil !
Une nouvelle fois, on s’amuse beaucoup, avec de nombreuses références – le corbeau et le renard, le petit chaperon rouge, et on retrouve même Boucle d’Ours dans la salle de classe !
Malgré tout, sans pouvoir me l’expliquer, j’ai un tout petit peu moins apprécié ce nouvel album que ses deux prédécesseurs. Mais il devrait beaucoup plaire aux enfants, en particulier  à 6/7 ans, au moment de l’apprentissage de la lecture.
Merci à A. Pacary et aux éditions Didier Jeunesse pour cette découverte.

Les + : l’humour, les références
Les - : un peu moins fin que les deux albums précédents
Appréciation : 3,5/5


Stellabloggeuse


vendredi 8 avril 2016

Sauveur & fils, saison 1, de Marie-Aude Murail

Editeur : Ecole des loisirs
Année : 2016
Pagination : 328 p.
Public visé : Adolescents, à partir de 12 ans

Résumé :
Sauveur Saint-Yves, psychologue veuf et originaire des Antilles, se démène pour venir en aide aux patients qui défilent dans son cabinet : ados en crise et en détresse, parents démunis et perdus, adultes en déroute… Mais il en oublie ses propres problèmes et ceux de son fils Lazare, petit garçon de 8 ans confronté à l’absence taboue de sa maman et aux psychoses des patients qu’il espionne dans le cabinet de son père.

Ce que j’en pense :
Si l’on n’atteint pas les sommets de mes « chouchous » de Marie Aude Murail – Simple, Oh Boy, ou l’hilarant Ma vie a changé – j’ai retrouvé dans ce roman tout ce que j’aime chez elle, c’est-à-dire beaucoup d’humanité assaisonnée d’humour tendre.
Au travers des patients du docteur Saint Yves, l’auteure aborde des problèmes de société on ne peut plus actuels : les familles recomposées ou homoparentales, les attentats, les transgenre, l’addiction aux jeux vidéos, le racisme… Au travers de Sauveur, la question des origines est également importante. Ces thèmes sont questionnés, réfléchis, sans dramatiser, avec le recul d’un médecin ou d’un enfant selon le point de vue adopté à ce moment-là.
Ces thèmes sont parfois difficiles, et le roman comporte quelques moment de douloureuses émotions, mais la majorité de l’histoire est placée sous le signe de l’humour, avec des dialogues vivants et enlevés.
C’est donc un roman très positif, même s’il pose beaucoup de questions, et je me réjouis qu’il y ait une suite. Je le conseillerais à partir de 12 ans, pour pouvoir apprécier l’ensemble des thèmes abordés.

Les + : l’humour, les thèmes de société
Les - : r.a.s
Appréciation : 4/5

Stellabloggeuse
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« Ce matin, les CE2 de Madame Dumayet étaient encore sous tension après les attentats terroristes des 7 et 9 janvier. Certains d’entre eux avaient déposé une fleur ou un crayon auprès de Marianne, place de la République, en hommage aux journalistes assassinés.
-C’est vrai qu’on peut vous tuer si on fait des dessins ? s’était inquiété Paul.
-Mais c’était des dessins pour se moquer, lui avait répliqué la petite Océane. Hein, maîtresse, tu as dit qu’il fallait pas se moquer ?
-Moi, avait déclaré Noam, je suis juif. Il y a des méchants qui vous tuent juste parce qu’on est juif.
-C’est des nazis d’Hitler.
-Non, c’est des arabes.
-Mais je suis arabe ! avait protesté Nour.
Madame Dumayet, la maîtresse des CE2, avait essayé de leur répondre en son âme et conscience mais elle s’était sentie très démunie. »

mercredi 6 avril 2016

Réveille-toi Raymond !, d’Anne Crausaz

Editeur : MéMo
Année : 2015
Public visé : Enfants, à partir de 3 ans

Résumé :
Dans cet album, Anne Crausaz renoue avec son personnage fétiche, l’escargot Raymond. Avec sa compagne Juliette, Raymond se prépare à hiberner, pour passer l’hiver bien au chaud. Mais rien ne se passe comme prévu : un bruit le réveille et l’attire dehors, où il multiplie les mauvaises rencontres, que ce soit avec des fraises affamées, des champignons brigands ou un hérisson ! Le pauvre Raymond en perdrait sa coquille…

Ce que j’en pense :
On retrouve le style d’Anne Crausaz, avec ses dessins précis et colorés et un texte minimaliste, qui suggère plutôt qu’il n’explique. Cette fois, Raymond fait un cauchemar, et son rêve lui fait rencontrer, en les détournant, des éléments de son quotidien.
Les petits à qui l’on raconte cette histoire sont d’abord surpris par son étrangeté, par les créatures que rencontre Raymond, avant de comprendre finalement que ce n’était qu’un rêve. L’album peut être accessible à partir de 3 ans, surtout si les enfants connaissent déjà Raymond, mais ce sont les 4/5 ans qui devraient mieux l’apprécier.

Les + : un personnage déjà connu, un graphisme attrayant
Les - : r.a.s
Appréciation : 3,5/5


Stellabloggeuse

samedi 2 avril 2016

Les étoiles de Noss Head, tome 3, de Sophie Jomain : Accomplissement

Editeur : Rebelle
Année : 2012
Pagination : 441 p.
Public visé : Adolescentes, à partir de 14 ans

Résumé :
*Attention, il s’agit du troisième tome d’une série, présence de spoilers sur les tomes précédents*
Hannah est devenue un ange noir contre sa volonté. Son esprit a tellement résisté que, malgré les efforts de Darius pour l’aider à s’adapter, elle ne maîtrise pas ses nouveaux pouvoirs et a conservé son odeur d’humaine. Avec le départ de Leith, incapable de supporter sa nouvelle nature, elle a perdu toute raison de vivre. Mais rien ne pourra jamais redevenir comme avant. Sauf si…

Ce que j’en pense :
Je crois que pour moi, c’était le tome de trop ! Les défauts que j’avais déjà remarqué dans les deux précédents ont fini par m’agacer : l’écriture un peu trop orale, l’humour à outrance, les gros sabots utilisés pour aborder la romance (et Leith est trop beau, trop viril, et je ne sais même plus comment je m’appelle…etc etc.), les personnages qui se font des câlins toutes les cinq minutes...
Mais j’ai surtout été déçue par la nature de l’intrigue en elle-même, j’aurais préféré qu’Hannah apprenne à s’accepter. Et je crois que le Journal d’un vampire m’a donné une allergie aux transformations à répétition !
Bref, je comprends que la série plaise aux adolescentes à qui elle est destinée, et à celles qui ont gardé leur âme de midinette, car la romance est agréable et les personnages sympathiques. Le tout agrémenté de fantastique et de danger, avec une intrigue plutôt bien ficelée en dehors de ces histoires de transformations. Mais pour ma part la magie ne fonctionne pas, même si j’ai aisément adhéré à d’autres séries pour ados assaisonnées d’hormones (comme Night School de CJ Daugherty, ou les Frères Fuentes de Simone Elkeles, et sûrement d’autres encore !). Je pense donc arrêter la saga ici, d’autant plus que la première intrigue se clôt à la fin de ce tome.

Les + : les personnages, une lecture agréable malgré tous les bémols
Les - : trop de romance, trop d’humour, trop de rebondissements improbables…
Appréciation : 3/5

Stellabloggeuse
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Ce roman fait partie des challenges :

Challenge ABC 2016 : 6/13



Challenge New Pal 2016 : 4/56

vendredi 1 avril 2016

En mars 2016...

 Ce mois-ci, j’ai lu et chroniqué :

Déception :

    J'ai vraiment aimé :



 J'adore :






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  Le mois prochain je souhaite lire : 

-Le seul et unique Ivan, de Katherine Applegate
-Berezina, de Sylvain Tesson
-La nuit du Titanic, de Walter Lord

  En ce moment je lis :


Du nouveau dans ma bibliothèque :

Sauveur & Fils de Marie Aude Murail, tome 1 (Masse critique Babelio)




   Les visites du mois :

1496 pages vues (blogger ne permet pas de dénombrer les visiteurs uniques). 

Bref, merci pour vos visites, occasionnelles ou assidues! 

Et vous, qu'avez-vous lu en ce mois de mars? Avez-vous eu des coups de coeur?
Très bon mois d'avril à vous!

  Stellabloggeuse